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1) Bien choisir son float-tube
Lors du choix du float-tube, il est important de bien définir l'utilisation que l'on souhaite en faire. Si celui-ci est destiné à une utilisation en milieux difficiles d'accès et qu'il faut prévoir de la marche, alors il convient de choisir un modèle correspondant à cette utilisation. Dans ce cas, il faut prendre un float-tube de petite taille, de dimensions 150 à 160, et vérifier la présence d'anneaux de fixations et de sangles de transport.
2) Emporter l'essentiel
Lorsque l'on a de la marcheà effectuer avec son matériel de pêche, il faut être capable d'emporter juste le nécessaire pour minimiser le poids transporté. Il faut donc prendre le nécessaire de pêche et de quoi réparer si besoin.
Par exemple, il ne sert à rien d'emporter 50 têtes plombées alors qu'une dizaine suffit amplement. Idem pour les leurres, si l'on sait que tel ou tel leurre restera dans la boite toute la session de pêche, il ne sert à rien de s'en encombrer.
Dans cette optique, emporter une ou deux cannes à pêche est le maximum à prendre, pour ne pas à avoir de support de canne d'installé sur le float-tube, ce qui complique le transport. Ainsi, il est facile d'alléger un float-tube de quelques kilogrammes.
3) Favoriser du matériel peu encombrant
Dans le même principe que d'emporter juste l'essentiel, il convient de favoriser du matériel facilement transportable et peu encombrant.
Les cannes à pêche de type voyage, avec une construction multi-brins facilitent grandement le transport, surtout pour passer dans des zones boisées. Il existe également des épuisettes pliables, qui elles aussi facilitent le transport.
4) Libérer les bras
Il est plus simple de charger le float-tube que l'on transporte sur son dos, plutôt que de charger ses bras, qui au bout de quelques minutes vont vite devenir engourdis.
Ainsi, les accessoires comme les palmes peuvent être attachés directement sur le float-tube, et le gilet de sauvetage porté sur soi. De plus, il faut favoriser de charger les poches du float-tube, pour ne pas s'encombrer d'un bakkan ou d'un sac étanche, que l'on doit transporter à la main.
5) Partir à deux voitures
Enfin, pour ce type d'exploration, s'encombrer d'un moteur électrique n'est pas possible. Cependant, lorsque l'on ne pêche pas seul, que le milieu s'y prête et qu'il y a des points d'accès, il est intéressant de laisser une voiture au point d'arrivée, et d'utiliser la seconde pour se rendre au point de départ.
Par conséquent, il est possible de réaliser de longs trajets, en grand lac ou en rivière, sans se soucier d'avoir à refaire le chemin inverse.