Fabien est un amoureux de la pêche au thon. Ce passionné a son bateau basé à Guidel, dans la rade de Lorient. Avec son Key West 21 (6,50 m), il parcourt l'océan à la recherche de son poisson fétiche. Depuis l'année dernière, il est devenu un inconditionnel des jumelles stabilisées Kite Optics. Il nous raconte comment il a découvert ce produit et comment cet accessoire est devenu indispensable pour traquer le gros poisson.
Des jumelles stabilisées en mer
"J'ai découvert les Kite Optics par l'intermédiaire d'un ami qui fait de la photo animalière et qui embarque un jour à mon bord avec son modèle stabilisé 10 x 30." Ces jumelles imaginées et développées par la société belge Kite Optics permettent de stabiliser la vision. À l'aide de capteurs et d'une IA, elle offre une image fixe, même si l'on est soit même en mouvement, comme c'est le cas sur un bateau. "J'ai contacté cette société pour savoir si ces jumelles s'adaptaient aux environnements humides que nous avons à bord d'un bateau et si je pouvais les utiliser en mer. Répondant affirmativement, ils m'ont conseillé leur modèle 12 x 42 que j'ai immédiatement acheté. Et depuis je ne peux plus m'en passer."
Des Kite Optics à bord
Pêcheur passionné, Fabien a découvert la chasse aux thons rouges après des années à pêcher le bar et le lieu. Cette pêche demande de bons yeux pour repérer au large des oiseaux, souvent synonyme de chasse. "Avant les Kite Optics, j'avais acheté des jumelles marines 7 x 30 Bushnell. Mais avec ma nouvelle paire 12 x42, je vois quasiment 2 fois plus gros et surtout avec une image incroyablement fixe ! Cette immobilité permet de bien distinguer les détails, car les jumelles sont très nettes avec une qualité d'image irréprochable."
Une vision nette à près de 7 nautiques
Le fait de trouver des chasses fait la différence pour ce pêcheur : "Désormais je peux voir des chasses qui se déroulent à 6 ou 7 milles de moi. C'est même presque gênant de voir aussi bien, car pour me rendre sur les lieux, je mets presque 20 minutes avec ma moyenne de 20 à 22 nœuds. Quand j'arrive, le poisson n'est parfois plus là…"
Autonomie d'une saison
Même si Fabien avoue être un utilisateur soigneux, "Je range toujours mes jumelles dans une Pelicase après chaque usage", il nous indique aussi que malgré une saison intensive, les jumelles n'ont aucune trace d'usure et fonctionnent toujours aussi bien. Quant à l'autonomie, Fabien nous indique : "J'ai changé les piles en fin de saison. À la fin on se rend compte qu'elles sont à changer, car la stabilisation s'arrête, l'image redevient bougée. Mais 2 piles AA pour toute la saison, c'est vraiment raisonnable."
Les essayer, c'est les acheter
Aujourd'hui Fabien ne fait plus une sortie sans ses jumelles : "Je peux voir ce que personne ne voit. En balayant l'horizon, si le poisson est là, je finis toujours par trouver une chasse." Ce pêcheur a créé une association d'amis pour partir chasser le thon. "Tous les amis qui ont essayé ces jumelles les ont commandées par la suite. Les essayer, c'est les acheter !"